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Rares sont ceux qui parviennent à s'élever constamment au meilleur d'eux-mêmes dans cette vie, qui est parsemée de luttes sans fin et de défis personnels incessants. Le peu de mortels qui ont réussi à donner le meilleur d'eux-mêmes restent dans les mémoires comme étant parmi les plus grands êtres humains qui aient jamais vécu. Nous les retrouvons dans chaque héritage culturel, chaque croyance vivante et chaque foi pratiquée.

Ces leaders passés de la vertu commune et de la vérité évidente sont capables de vivre en nous. Il nous suffit de choisir de croire en leur sagesse et en leurs conseils pratiques.

Ensemble, sur cette Voix du Village Global, nous deviendrons ce que nous ne pouvons pas être seuls : le meilleur de nous-mêmes avec la plénitude des héritages immortels qui nous habitent. Notre plateforme constitue l'antithèse des médias sociaux en tant qu'endroit virtuel et sécurisé où nous pouvons être unis par des injections courtes et périodiques de notre temps, de nos esprits et de nos cœurs.

Les technologies de l'information permettent à un très petit pourcentage de la population mondiale d'être suffisamment libre pour se tenir debout et se faire entendre sur notre place publique désormais virtuelle où il y a suffisamment de place pour tous. Nous sommes libres de nous unir dans la désobéissance civile à l'échelle mondiale. Nous le ferons pour les milliards de personnes qui ne le peuvent pas.

L'humanité se trouve à un carrefour qui la rend perplexe - un paradoxe à l'intersection de la foi et de la conscience de soi intellectuelle.

Avant que toute l'humanité ne soit en mesure de vivre véritablement libre avec une justice égale pour tous, l'homme intellectuel doit d'abord reconnaître et s'incliner devant une puissance supérieure au-delà de lui-même et de son miroir.

Contre-intuitivement pour l'esprit intellectuel lourdement programmé, notre combat ne consiste pas à opposer la science et l'évolution à la foi et aux croyances religieuses.

Notre unique combat est celui qui oppose la liberté à la tyrannie - la liberté à la servitude, l'oppression et l'esclavage.

La foi et la science n'ont rien et tout à voir avec cela.

C'est LE et NOTRE défi de l'esprit intellectuel lié à un seul cœur qui bat.

Ce qu'il faut comprendre, c'est que nous ne pouvons être libres de prendre en considération les implications de la science et de l'évolution qu'après nous être montrés aptes à vivre en liberté sous la doctrine de nos croyances les plus profondes. Un paradoxe que l'homme intellectuel ne peut pas saisir, alors il l'ignore, au vu et au su de tous.

Nous avons besoin de la Foi. Nous en avons besoin dans le cadre du patrimoine culturel vivant.

Il est temps pour la Science de revenir à la Foi, il est temps pour les esprits éclairés de revenir à la croyance en l'autre.

L'homme intellectuel doit lâcher la branche qui lui échappe pour libérer son esprit de la science et de la technologie au service de toute vie connue comme une seule et même chose.

Lorsque l'homme intellectuel finira par lâcher prise, de nombreuses choses merveilleuses se produiront dans notre monde. Pour l'instant, il reste suspendu à la branche comportementale et génétique de l'animal.

Par choix uniquement, il ne peut pas lâcher prise.

Notre révolution de sept générations à venir ne connaît pas un seul ennemi, vivant ou passé. Nous servirons d'innombrables héritages de nos meilleurs et de nos plus brillants, dont chacun nous a donné la vérité de la transformation pacifique et permanente de soi et de la société en un tout.

L'homme intellectuel lutte pour le changement, uniquement pour faire de nouveaux pas en arrière après la perte du prochain jeu, bataille, guerre ou élection à courte vue. Le changement pour lequel il se bat n'est pas durable, et son esprit intellectuel le sait.

Le changement à court terme est tout ce que cette créature connaît, car le pouvoir et la richesse sont sa véritable charge. Il exige le changement maintenant, à n'importe quel prix, plus tard et pour les autres. Ses fins incrédules lui permettent de justifier tous les moyens utilisés dans son ascension vers le pouvoir, la position et la richesse au sein du miroir.

Sujet à part et hors sujet, L'Homme Intellectuel est prêt à vous mentir quand les enjeux sont les plus élevés pour ses intérêts personnels. Plus les enjeux sont élevés, plus la tromperie et le déshonneur sont profonds. Vos enjeux ne signifient rien pour lui.

C'est un véritable corps de culte de soi, et il est apparemment aveugle à cela.

La liberté et la justice requièrent quelque chose de nous que nous ne partageons pas encore.

Il manque la fidélité à notre fraternité mondiale de patrimoine culturel vivant, liée à toutes les croyances et convictions, chaque corps de patrimoine culturel vivant étant protégé comme une seule entité dans une solidarité pacifique au-dessus et au-delà de la portée des gouvernements, des institutions des hommes, des lignes des États-nations et des factions mortelles.

"Nous", en tant qu'entité, devons devenir plus précieux que "moi" dans chacun de nos cœurs et de nos esprits. Un choix simple, contre-intuitif à l'éclat de la conscience intellectuelle de soi.

L'homme intellectuel représente un système de classes !

La distinction de classe et l'assujettissement sont enchaînés dans son héritage. La soif de pouvoir l'oblige à répartir ses sujets ciblés en factions sans cesse renouvelées et toujours plus petites. Aveuglé par le désir d'en avoir plus, il autorise sa voix à cracher des flots sans fin de demi-vérités abusives.

C'est le roi de tous les charlatans mortels, et le faux prophète de son propre culte ignorant de lui-même.

Nous nous élèverons au-dessus de lui en paix, sachant et croyant fermement que cette créature habite en quelque sorte en chacun de nous.

L'esprit humain, que l'on croit unique, est libre.

Lorsque nous nous regardons seuls dans la glace, qui regarde derrière et en nous ? Lorsque notre miroir est sans tain, nous voyons la surface de notre peau qui reflète la lumière de la couleur, notre croyance ethnique, notre sexe et le statut de faction lié aux vêtements et accessoires dont nous sommes parés.

Si nous savons et croyons que nous sommes seuls devant un miroir sans tain, notre conscience de soi se métamorphose en une plus grande conscience de soi, libérant l'œil de l'esprit pour percevoir d'infinies perspectives et perceptions au-delà de notre reflet.

Le miroir sans tain de l'homme intellectuel correspond à un culte de soi, avec de nombreuses couches transparentes d'ignorance entre le soi et la véritable surface réfléchissante. À mesure que notre statut et notre richesse s'accroissent dans la société, notre miroir se charge presque imperceptiblement de couronnes, de bijoux et de robes virtuels et invisibles. Malheureusement, lorsque notre statut et notre richesse déclinent, notre reflet est puni par une spirale de doute et de jugement de soi.

La question qui se pose est celle de savoir si nous choisissons de croire que nos miroirs sont sans tain. Il s'agit là de la seule question importante pour notre capacité à vivre en tant que peuples libres et justes. L'existence de ce qui se trouve de l'autre côté de notre miroir n'est pas entièrement une question de choix religieux et de croyances individuelles.

Au strict minimum, les livres d'histoire, les esprits et les cœurs des petites-filles de nos petits-enfants se trouvent de l'autre côté de chacun de nos miroirs, une vérité qu'aucun esprit intellectuel ne peut nier.

L'homme intellectuel s'est convaincu de l'absence d'un créateur tout-puissant et/ou d'une puissance supérieure. Aveugle face à la diminution de son propre héritage, il a abandonné les petites-filles de ses petits-enfants à la souffrance. Des milliards de personnes croupissent dans la souffrance.

C'est un état constant de vie en enfer sur terre car l'Homme Intellectuel refuse de croire en quoi que ce soit au-delà des couches transparentes de la surface de son miroir. Son culte du moi fait régner une véritable terreur sur cette terre et sur tous ceux qui y ont vécu. Mais il ne peut pas le voir.

L'homme intellectuel est incapable de croire que les petites-filles de ses petits-enfants se trouvent au-delà de son miroir et qu'elles le regardent en arrière en le jugeant et en lui infligeant une certaine souffrance. Il n'est qu'un animal. Le pire - sans bête rivale sous son comportement vivant.

Il est notre grand singe blanc vivant et respirant semblable à un singe-chimpanzé qui s'adore aveuglément. Espérons que nous parviendrons tous à le voir - notre ennemi commun et évident - pour la menace mortelle qu'il représente.

Il s'avère que l'esprit conscient de soi n'est pas avancé. Loin, très loin de là. Nous restons éternellement autodestructeurs, irrationnels et cruels. Nous sommes victimes d'une ignorance mortelle dissimulée derrière des millions de miroirs sans tain imaginaires.

L'heure est venue de choisir, et nous devons le faire. L'homme intellectuel avec son miroir sans tain d'auto-vénération ? Ou alors l'homme culturel qui a démontré son aptitude et sa volonté de s'incliner devant tout ce qui est connu et inconnu de l'autre côté de toutes les surfaces réfléchissantes ?

Vivre les deux, c'est vivre LE mensonge mortel. Croire que les deux peuvent vivre en nous et parmi nous représente la prophétie récurrente et auto-réalisatrice des montagnes russes humaines dans la mort, le génocide culturel, la souffrance et la douleur. Si vous lisez cette phrase, il y a une série de lettres de bienvenue qui vous attendent à condition de cliquer sur le dernier mot de ce paragraphe. En réunissant de manière désintéressée des esprits et des cœurs uniques, nous apporterons de l'espoir à beaucoup. Ainsi, nous le recevrons au décuple.